Les nichons (paroles)

(sur l'air du "Zizi" de Pierre Perret)
♫       ♪  ♫       
Afin de mieux toutes vous complexer
Ô gué, ô gué
A coup de starlettes photoshopées
Ô gué, ô gué
Les magasines féminins
Ne cessent d’afficher des seins
De filles en anorexie
Passées sous l’bistouri
Un médecin-chirurgien esthéti-i-que
Nous décrit cet organe éroti-i-que
Il dit nous allons planter le décor
Ô gué, ô gué
De ces fameuses glandes mammaires d'abord
Ô gué, ô gué
Il saisit un catalogue
Et prend un ton pédagogue
Afin d’tout nous expliquer dans un long monologue
Et afin d’illustrer sa diatri-i-be
Il tourne les pages garnies de ni-i-bs

(Refrain:)
Tout tout tout
Vous saurez tout sur les nichons
Les vrais, les faux
Les laids, les beaux
Petits tétons
Gros mamelons
Gants de toilette
Boutons de sonnette
Œufs sur le plat
Tout raplapla
Tout tout tout tout
Je vous dirai tout sur les nichons

Des seins y'en a de toutes dimensions
Ô gué, ô gué
Des mandarines jusqu'aux gros melons
Ô gué, ô gué
J'en ai vu des impusilfs
Qui jaillissaient des soutifs
J'en ai vu des fatigués
S’diriger vers les pieds
Ceux d’une jeune fille tout juste en fleu-eu-reu
Qui peinaient à remplir son cache-cœu-eu-reu
Y a l’obus dressé d’la strip-teaseuse
Ô gué, ô gué
Çui qui donne envie de courir la gueuse
Ô gué, ô gué
J'ai vu les boites à lolo
D’un infirmière à l’hosto
Qui en pleine opération
Font monter la tension
Ceux des féministes en colè-è-re
Qui défilent la poitrine à l’ai-ai-reu


(Refrain)

Les airbags de miss Venezuela
Ô gué, ô gué
Sont en silicone made in China
Ô gué, ô gué
La poitrine sculpturale
D'une sportive venue d’l’Oural
Affolant à chaque service les ramasseurs de balles
Les p’tits seins discrets d’l’institutri-i-ce
Qui alimentent fantasmes et vi-i-ces
J'ai vu les bouées d’une actrice porno
Ô gué, ô gué
Aussi naturelles qu’un Haribo
Ô gué, ô gué
Ceux fermes d’une esthéticienne
Qu’ont pas b’soin qu’on les soutienne
Ceux d’une marchande de primeurs
Plus d’la première fraîcheur
Ceux d’une pervenche un peu revê-ê-che
Serrés dans son uniforme rê-ê-che

(Refrain)

En s’penchant sur les roberts d’ma sœur
Ô gué, ô gué
L’beau-frère a appris l’français par cœur
Ô gué, ô gué
Et pour maîtriser le braille
Rien n’vaut la main sous le chandail
D’une aveugle un peu frileuse aux minuscules médailles
Des centaines de nénés sur les pla-a-ges
Enfin libérés de leur corsa-a-ge 

(Refrain)

♫ ♪


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire